Recit sex ma belle mere et ma femme
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Pour cette occasion assez spéciale elle nous avait préparé de succulents plats à base dépices très réputés pour leur qualité aphrodisiaque chez les hommes. Mais vous êtes fou ma parole!!! Elle installa un filtre dans la cafetière, versa de leau et de la poudre, puis ressortit de la pièce.
Son visage en eau me faisait face, et je voyais donc toutes les mimiques qui remplaçaient les cris de joie ou de douleur quelle aurait voulu hurler. Je me réveillais doucement, pensant qu'il s'agissait de ma copine. Tu vas voir, tu vas adorer te faire enculer comme une chienne. C'est un sacré petit vicieux. Je le sais car je te vois souvent les regarder quand tu viens chez moi. Il évitait de plus en plus la maison, rentrant de plus en plus tard, et pas toujours en état de sobriété. Mon beau-fils devait comprendre qui commandait dans cette maison. Je conseillais à Sylvianne de laisser couler leau, le déversement pouvant masquer les bruits éventuels de nos jeux. Je lisais tout cela avec avidité, me nourrissant des expériences des unes et des autres afin de mettre peu à peu mon plan à exécution. Elle me relança un nouveau bonjour, plus sec en s'avançant vers moi et je compris ce qu'elle attendait... Elle enfourna encore plus loin ma bite dans sa bouche jusqu'à ce qu'elle disparaisse jusqu'à la garde.
Ils t'excitent mes gros seins. Il balbutiait toujours des mots incompréhensibles. Je m'appliquais à les lécher, à les palper, à les caresser non seulement pour satisfaire ma belle-mère mais aussi par plaisir car ils étaient magnifiques.
- Ses lèvres autrefois roses étaient maintenant imbibées de mon liquide blanc, et lodeur de mon sperme sodorait de plus en plus dans la cuisine. Bien sûr sa fille croyait que je parlais de sa gastronomie.
Nouveau récit pour toutes et tous les dévergondé e s littéraires du forum, laissez vos impressions : Voilà une semaine, la mère de nos épouses à Francis et moi, nous avait invité à un repas familial un dimanche midi. Je dois avouer quau début jessayais desquiver en raison de notre aventure je naimais pas être en relation avec ma belle-mère en présence de ma femme, prétextant que je devais aller faire un match de foot avec les collègues du boulot, mais cette dernière avait tant insisté que je finis par céder et accepter. Jétais assez anxieux : le fait quon se retrouve tous les cinq dans la même pièce ne me rassurait pas du tout. Le dimanche matin même je simulais un mal au ventre pour ne pas y aller, mais je suis mauvais comédien, et ma compagne savait pertinemment quil sagissait dun malaise imaginatif pour que jailles jouer au foot. Bref, en arrivant chez Sylvianne je remarquais que la voiture de Francis et sa femme était déjà garée. Arrivés au seuil de la porte, mon épouse pressa le carillon, et sa mère vint ouvrir, lui fît la bise, la fît rentrer, puis me donna à mon tour une bise dune manière amicale accompagné dun soupçon de complicité dans son regard. Je la trouvais vraiment excitante, comme toujours dailleurs, elle était vêtue d'une mini-jupe en cuir noir boutonnée devant qui lui moulait son joli cul bombé, et d'un bustier blanc boutonné devant, lui aussi, qui lui moulait ses gros seins et qui laissait apparaître à l'évidence le bout de ses tétons. Tout cela chaussé de talons aiguillons vernis noirs qui lui donnait une allure folle. Je lui fit remarquer qu'elle était très belle sur un ton poli pour ne pas éveiller les doutes, et elle me remercia en retour par un de ces radieux sourires, suite à quoi elle nous demanda de prendre place à table, jétais assis entre mon amie à droite et Sylvianne à ma gauche, alors que Francis et sa conjointe nous faisaient face. Je mefforçais de garder la tête baissée dans mon assiette et de ne trop regarder vers ma gauche, mais lorsquelle se levait pour aller chercher les plats je ne pouvais mempêcher de jeter des coups d'oeil furtifs sur sa poitrine et ses cuisses. Cette situation dangereuse commençait à me stimuler et mon dard veineux commençait lui aussi à prendre des proportions, exerçant une bosse dans mon pantalon, qui se dissimulait fort heureusement sous la nappe. Pour cette occasion assez spéciale elle nous avait préparé de succulents plats à base dépices très réputés pour leur qualité aphrodisiaque chez les hommes. Cela voulait il dire quelque chose? Avait elle envie de sexe aujourdhui? Je ne savais pas quoi en penser, tous ce que je savais cest que je navais pas eu à attendre de déguster sa cuisine pour me mettre en conditions. En plein milieu du repas le téléphone de lépouse de Francis se mit à sonner, elle décrocha, se leva, et sortit de la pièce pour continuer sa conversation dans une autre chambre. Je navais donc plus son regard qui mépiait en face de moi. Javais absolument besoin de toucher cette splendide femme située à ma gauche. Profitant du fait que ma conjointe était distraite par la conversation quelle entretenait avec Francis sur une ancienne connaissance, je faisais semblant de mintéresser au dialogue, puis je desservis du dessus de la table ma main gauche et la dissimula sous la nappe, pour mieux aller tâter la cuisse nue de Sylvianne, celle-ci eu un effet de surprise et sursauta sans pour autant se faire remarquer. Mais ma main continuait sa balade charnelle le long de ses deux cuisses quelle serrait en signe de protestation, mais cela ne marrêtait pas pour autant, tout en prétendant suivre le dialogue dont je me foutais éperdument, jappuyais ma main pour quelle passe dans son entre-cuisse et mes doigts accédaient maintenant à sa culotte que je retroussais pour approcher son sexe chaleureux, jeffleurais doucement sa petite toison pubienne peuplée de poils ondulés sous lesquels se cachaient sous le plis de sa chair ce petit clitoris qui lui procurait tant de jouissance lors de nos ébats sexuels, puis descendant mon doigt dans le creux qui séparait ses épaisses lèvres vaginales qui dhabitude donnaient un magnifique attrait à son sexe, mon index s'engagea profondément dans ce trou que je considérais comme vénérable, preuve de nous avoir fait tant jouir, ce trou que certains considèreraient comme normal, mais que moi je considérais comme un coin paradisiaque et hors du commun. Ne pouvant pas résister au plaisir que mon doigt lui fournissait, ses muscles commençèrent à se détendre et ses cuisses sécartaient de plus en plus. Alors que ma main continuait à trifouiller sa chatte, je tourna brièvement la tête en sa direction alors que la discussion continuait à son rythme. Dun regard je vit le visage de Sylvianne laissant lire une certaine gène, et la rougeur de ses joue dévoilait sa honte, elle était sans doute déshonorée dêtre pénétrée par le doigt de son gendre alors que sa fille nétait situé quà un mètre delle, mais je découvrais aussi que cette honte se transformait en plaisir lorsque je sentis sa chatte devenir moite. Lobjet de mon adoration était en train dimbiber mon index qui le stimulait. Puis soudain jentendis les pas de ma belle sur revenir en notre direction, je sortis donc ma main de la jupe en cuir de Sylvianne, la reposa sur la table, puis devant sa fille qui se rasseyait porta mon doigt à ma bouche et le lécha voluptueusement : Cest excellent!!! Bien sûr sa fille croyait que je parlais de sa gastronomie. Elle ne parlait plus beaucoup à table depuis les attouchements que javais exercé, les deux seules qui maintenaient la conversation étaient désormais ses deux pipelettes de filles qui blablataient sans relâche, et dont le seul pôle de conversation était qui sortait avec qui, qui avait cassé avec qui, etc , Francis lui navait aucune idée de ce qui sétait déroulé sous la table. A la fin du repas ses deux filles allèrent sassoupir confortablement dans le canapé sur lequel nous avions commis tant de fois ladultère avec leur mère, puis lune dentre elle se leva et alla chercher une jaquette qui était posée sur le téléviseur : Tiens, Mman! On peux le regarder sur ta télé?!? Oui, allez-y, le lecteur est à lintérieur du meuble!!! Alors que cette dernière rangeait et débarrassait la table, Francis eu la bonne idée : Attendez, on va vous aider à faire la vaisselle , Vous êtes vraiment des faux culs!!! Alors que ma femme mettait en marche le film, nous débarrassions tous les trois la table et rapatrions les restes, les couverts, les plats, et tout ce qui restait sur la nappe dans la cuisine jusquà ce que la table soit déserte. Je fût le dernier à rentrer dans la cuisine tandis que Sylvianne faisait la vaisselle et que Francis vidait les assiettes dans la poubelle. Je posa les quelques trucs qui mencombraient les bras sur un meuble, ferma la porte derrière moi, agrippa une chaise et bloqua la poignée de la porte de la cuisine à laide du dossier de la chaise, puis par impulsion inouie vint derrière ma belle-mère qui continuait sa corvée, lui releva dun coup sec sa jupe vers le haut, et lui abaissas sa culotte qui lui cachait son admirable postérieur rondelet, elle essaya de se retourner de force, mais il était trop tard mes bras avaient enlacé son corps si bien quelle ne pouvait pas se débattre. Mais quelle quest ce que vous faites! Mais vous êtes fou ma parole!!! Mes filles sont juste à côté!!! Elle a peut être raison lança Francis cest trop risqué!!! Justement, cest cette situation périlleuse qui me fait triquer, laissez vous faire Sylvianne, on agira le plus discrètement possible susurrai-je à son oreille. Francis se dirigea vers la porte et sadossa dessus pour donner un support supplémentaire au cas où quelquun essaierait douvrir. Je conseillais à Sylvianne de laisser couler leau, le déversement pouvant masquer les bruits éventuels de nos jeux. Toujours immobilisé dans le dos de Sylvianne je sortais maintenant de son bustier blanc ses deux grosses mamelles qui momnibulaient depuis le début du repas, les pétrissant de mes mains insatiables, puis descendis ma tête à son cul, et lui écarta les cuisse afin davoir accès à son matou que je prenais plaisir à téter, tel un nourrisson affamé se nourrissant du sein de sa mère, Sylvianne se définissait en quelque sorte comme ma seconde mère avec qui je commettais sans cesse un inceste pur et divin dans lequel je me prélassais, délaissant derrière moi tout raisonnement des conséquences désastreuses quil pourrait en résulter tant cet inceste était enivrant. Ma queue, raide à 100%, me faisait mal tellement elle bandait, et mon pantalon étroit ne faisait quamplifier la douleur, une douleur non comme celle qui fait quon voudrait quelle sarrête immédiatement, mais plutôt comme celle qui vous donne envie quelle saccroisse à tel point quelle vous met dans un état débriété sexuelle, et vous fasse basculer mentalement et physiquement dans un état de passion et de folie charnelle. Sous le regard de Francis qui observait le spectacle, je déboutonna mon pantalon, ouvrit la fermeture éclaire, et en sortis ma longue verge enflée qui laissait entrevoir mes veines gonflées de lafflux de sang que mon cur envoyait à travers le circuit fermé de mon corps et qui aboutissait au point le plus sensoriel de lanatomie de tout mâle : le gland. Celui-ci était tellement dilaté que chaque battement de mon cur se répercutait à lextrémité de ma verge rouge de désir et assoiffée du sexe de la femme qui était dos tourné devant moi. Je retourna alors Sylvianne, lui enleva totalement son tonga blanc qui était resté au niveau des chevilles, lassis sur le bord du lavabo jambes écartées, et enfouis minutieusement ma... Le moment que jattendais si impatiemment depuis deux heures et demi de calvaire, soffrait enfin à moi. Oui, je faisait lamour à cette femme qui au fond ne faisait rien de mal, si ce nest dassouvir ces besoins bestiaux qui résident au fond de chaque être humain. Au lieu de gémir comme à son habitude, elle respirait fortement dune manière saccadée, sappuyant de ses deux mains en arrière sur les bords muraux de lévier pour tenir en équilibre. Chaque étreinte de mes hanches faisait virevolter sa majestueuse poitrine qui ne cessait de ballotter de bas en haut, et frôlant le tissus blanc de son bustier ouvert qui la mettait en valeur dune manière vulgaire, mais tellement céleste à la fois. Au bout de quelques instants, sa peau laissait couler sa transpiration qui glissait sur lépiderme de son corps et finissait épongé par le textile de son corsage où saccumulaient de petites auréoles de sueur. Ahuri par ce spectacle, Francis nen pouvait plus et avait déjà sorti sa longue pine hors de louverture de son boxer, quil aiguisait de ses cinq doigts en guise déchauffement. Moi aussi jai envie den profiter murmura-t-il. Alors que je continuais à ramoner la fente de ma belle-mère, je recueillis de leau du robinet qui coulait dans ma la paume de ma main, releva délicatement ses fesses de mon autre main et fît couler le liquide de long de sa raie pour ensuite y engloutir un doigt que je faisais tourner dans son anus, une minute plus tard je le retirais, le rinça et souleva de mes deux bras Sylvianne qui était suspendue dans le vide mais que je pénétrais toujours tandis que celle ci prenait appuie sur mes épaules, puis me dirigea en direction de la porte où était situé mon pote, lequel prit sa verge, cracha dans sa main et étendit sa salive sur son extremité, appuya doucement son nud sur le trou étroit qui se présentait à lui, l'introduit minutieusement , puis mallégea le poids en maintenant Sylvianne par les fesses, alors que je la soutenais manuellement par le haut des ses cuisses. Son visage en eau me faisait face, et je voyais donc toutes les mimiques qui remplaçaient les cris de joie ou de douleur quelle aurait voulu hurler. Une fois de plus elle se faisait labourer par ses deux jeunes amants qui avaient à peine un peu plus de la moitié de son âge, et qui lui donnaient toute leur passion et toute la vigueur de leur jeunesse, espérants lui donner entière satisfaction. Les frictions de nos trois corps serrés créaient une énergie synergique dexcitation spécifique comme je navais jamais ressentis auparavant. Je sentais à chaque instant que jaillais jouir, puis cette sensation se modérait pour ensuite remonter à la surface semblablement à un courant alternatif. Secouée, Sylvianne arriva à son orgasme serrant mes épaules au maximum entre ses bras, elle sabandonnait intégralement aux péchés de la chair. Mais nous voulions lui en donner plus, de nos membres virils nous adulions ses entrailles qui nous inspiraient louanges et gloire au rythme des claquements de nos chairs sur la sienne. Oh oui allez y Georges, je sens que ça revient!!! Cette fois ci je sentais aussi venir mon éjaculation qui se fît soudaine, et en même tant que son orgasme. Je jaillissais dans son ventre alors que je sentais simultanément son orifice se contracter autour de mon pénis qui se faisait retenir par ses muscles vaginaux, et percevant aussi la queue de Francisco battre la mesure sur la paroi extérieure qui comprimait ma tige de chair dans la cavité. Suite à léjaculation je ralentis la cadence, histoire de donner une petite pause à mon ptit bonhomme qui était pourtant toujours dappoint et prêt à y retourner. Je repris donc laction en cours, et baissant la tête observais ma sève coulante de sa faille qui au gré de lentrée et de la sortie de mon sexe dans le sien blanchissait, semblablement à de la crème que lon fouette. Ses lèvres autrefois roses étaient maintenant imbibées de mon liquide blanc, et lodeur de mon sperme sodorait de plus en plus dans la cuisine. Ce fût maintenant au tour de ce cher Francis de jouir dans le rectum que lui avait offert sa belle-mère. Oh oui, je viens, je viens, ahhhhhhh cest trop bon mimaient ses lèvres, laissant à peine audible le son de sa voix, il ferma les yeux et haussa les sourcils pour exprimer visuellement toute la saveur que ce moment lui procurait. Après avoir évacué toute sa sauce dans le derrière de Sylvianne il retira sa queue, lessuya sur les fesses de celle-ci, et remballa son pénis dans son boxer. Je reposais ensuite Sylvianne sur ses deux jambes, et mallongea sur le sol carrelé dont je sentais le froid à travers mes vêtements, elle vint se placer au dessus de mon phallus érigé vers le haut, le prit dans sa main, releva sa jupe en cuir quelque peu froissée, saccroupie sur ses deux pieds les talons aiguilles ne facilitant pas la tâche, et le rentra entre ses lèvres qui étaient toujours voilées de mon sperme blanc mélangé à sa cyprine. A mesure de ses mouvements verticaux je pouvais apercevoir les muscles de ses jambes qui travaillaient se contracter alors que mes mains étaient posées sous ses fesses, les aidant à monter et descendre afin dajuster le coulissement de sa pépète dans laquelle plongeait mon coït, son action était machinale et devenait progressivement rapide. Puis, fatiguée par lentrain de tels flexions elle sarrêta à mi-longueur de ma verge, et resta immobile quelques instants, puis entreprit des mouvements circulaires de son postérieur, je pouvais palper du bout de mon sexe lintérieur de sa chatte qui ondulait dans un angle conique à 360. Elle effectua cette rotation pendants quelques bonnes minutes, puis se remit à faire des flexions automatiques jusquà en avoir un nouvel orgasme, suite à quoi je sentis à mon tour mon coulis monter et inonder ses parties génitales. Après avoir récupéré de toutes ces intenses émotions nous nous relevâmes, jhumectais un sopalin deau pour messuyer le pénis, et elle se rinça le minou et lanus en y passant de leau quelle conservait dans le creux de sa main qui frotta ses parties, puis se sécha le sexe et les jambes avec un morceau de papier, remit sa culotte tonga dont la partie arrière sincrustait élégamment dans sa raie, et rentra ses seins à lintérieur de son bustier quelle réajusta. Francis retira la chaise de la porte, et nous nous remîmes tous à la vaisselle, sans mot dire, tant les actions précédentes mélangées à langoisse quune de nos femmes puisse rentrer à tout moment, nous avait pompé toute notre énergie. Au bout de 2 minutes environ la compagne de Francis rentra dans la cuisine Depuis une demie heure cest tous ce que vous avez fais comme vaisselle, quest ce que vous avez foutu?!? Tu parle, vous avez rien glandés commdhabitude!!! Elle installa un filtre dans la cafetière, versa de leau et de la poudre, puis ressortit de la pièce. Nous nous regardâmes alors tous les trois avec des sourire narquois , et Sylvianne réfuta Eh bien si ça cest rien glandé, je veux bien être la pire des féniasses!!! Puis je madressa à Francis : Timagines si elle était rentré quelques minutes plus tôt à quoi il nous répondit : Eh bien on serais tous les trois dans la... Content que ça puisse exciter autant de monde... Pour celles ou ceux qui auraient raté les 3 récits antérieurs sachez que vous pouvez trouver le tout premier en date du 22 avril. Bonne lecture lediablocorp aufeminin. Pour celles ou ceux qui auraient raté les 3 récits antérieurs sachez que vous pouvez trouver le tout premier en date du 22 avril. Bonne lecture lediablocorp aufeminin.